Soirée prestige chez les D’Hondt
Depuis 9 ans Marie-Hélène et Sébastien D’Hondt possèdent une même passion pour l’art et le partage. Collectionneurs mais également mécènes, ils ouvrent leurs maison à des artistes coups de coeur pour leur permettre d’exposer en toute convivialité et de les faire connaître auprès de leur réseau. Chaque année, en septembre, avec une thématique ils proposent  un moment de rencontre avec ses artistes.

Le temps d’une soirée rien que pour nous en présence également des artistes nous allons rencontrer ses passionnés et découvrir ses artistes.

L’exposition ‘’Habiter l’invisible’’ réunit le travail de Laure Winants, Loup Lejeune et d’Alice Pallot autour des questions de représentations de l’invisible et du vivant dans le monde abîmé de l’ère de L’Anthropocène.
Les trois artistes donnent à voir des récits à la fois dénonciateurs, poétiques et oniriques d’exploration de la matière organique.
Chacun.es à leur manière, i.els nous proposent une vision du monde non-anthropocentré où l’être humain n’est plus au centre de la biosphère.

Laure Winants établit son atelier directement au cœur des éléments sur la glace de mer en Arctique où encore dans les profondeurs de l’Océan. Lors de missions océanographiques, elle intègre une équipe de recherche pluridisciplinaire et s’intéresse directement à l’interaction des écosystèmes depuis une perspective plus qu’humaine.  A l’aide de capteurs environnementaux et d’instruments optiques/lumineux, l’interaction de la matière elle-même est devenue créatrice de l’œuvre.

Loup Lejeune est un artiste basé à Bruxelles et dont la démarche questionne les rapports de force qui s’exercent aujourd’hui entre nature et culture. Une quête de conscience au travers d’éléments anciens, un héritage qu’il célèbre et auquel il souhaite rendre hommage. Pétrole brut, sang de limule, os fossilisés, fougères archaïques et pierres de lave sont autant de matériaux qu’il perçoit comme chargés d’une temporalité profonde, traces hantées des premiers jours du monde.

Alice Pallot questionne l’impact des activités humaines sur l’environnement. Empreintes d’un imaginaire science-fictionnel, ses images dévoilent des problématiques invisibilisées. Elle mène des enquêtes d’anticipations sur les territoires qu’elle investit aux côtés de scientifiques et d’écologistes : la photographe questionne un futur proche en capturant la matérialité du réel. L’artiste réalise ses images sans retouches, utilisant la pollution visuelle comme filtre photographique (algues, bouteilles de plastiques).

Données pratiques
Visite et échange de 19h à 20h30
Suivi d’un moment convivial autour d’un repas dès 20h30
Adresse communiquée à l’inscription

 

septembre 19 @ 19:00
19:00 — 23:00 (4h)

Beersel

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